Une PMA pour toutes… médicale !

[nectar_animated_title heading_tag=”h1″ style=”hinge-drop” color=”Accent-Color” text=”Pour une PMA… médicale !”][nectar_animated_title heading_tag=”h3″ style=”hinge-drop” color=”Accent-Color” text=”Réflexions sur la procréation médicalement assistée”]

Depuis les débats sur le « mariage pour tous » – cette horrible et désastreuse façon de nommer le mariage homosexuel, par ailleurs tout à fait légitime sur le fond – on ne cesse de s’écharper sur les questions de filiation. Les vieux schémas traditionnels – souvent d’ailleurs plus fantasmés que réels – sont bousculés en tous sens, la famille d’aujourd’hui, et de demain, ne ressemble plus à la famille d’hier. Est-ce bien, est-ce mal ? La question n’est pas là. Est-ce politiquement et philosophiquement légitime ? Voilà les interrogations qui devraient nous animer dans une démocratie laïque – pléonasme. Pour ce qui est de l’union entre deux personnes de sexes (ou de genres ?[1]) identiques ou différents, la question est réglée – du moins tant que notre société conservera un peu de l’idéal démocratique, donc laïque, qui l’animait, ce qui est loin d’être garanti. En revanche, en ce qui concerne la filiation, les hostilités ne font que commencer. Emmanuel Macron s’y était engagé, l’Assemblée Nationale étudiera en septembre le projet d’ouverture de la Procréation Médicalement Assistée à toutes les femmes, célibataires et lesbiennes comprises[2]. Cela ne sera que le prélude à l’ultime débat, celui sur la Gestation Pour Autrui, mais ce n’est pas le sujet du jour.

La position que je défendrai dans cet article est claire. Oui à l’ouverture de la PMA à toutes les femmes, mais sur de strictes raisons médicales. En somme, que la médecine s’occupe de médecine. Rien de plus. Je me fiche comme d’une guigne du fait que des femmes soient homosexuelles ou célibataires, si elles présentent une impossibilité médicale à la procréation alors, elles doivent pouvoir bénéficier d’une PMA. C’est cela, et cela seul, que je défends, toute extrapolation ne pourra relever que du procès d’intention ou de la mécompréhension. Cette précaution étant prise, entrons dans le vif du sujet.

La PMA, de quel droit ?

Commençons par rappeler cette vérité d’évidence : il n’y a pas de droit à l’enfant, mais un droit de l’enfant – et c’est heureux – car l’enfant est une personne – c’est un acquis fondamental de notre modernité, et, il faut le dire, un progrès. Que serait un droit à l’enfant ? Un droit dit « opposable » donne la possibilité au citoyen qui s’en juge privé d’utiliser des voies de recours afin que ledit droit soit respecté, et, dans le même temps, il oblige la puissance publique à tout faire pour que les citoyens en dispose, elle a une obligation de résultats. Mais s’agissant d’un enfant ? Un tel droit à l’enfant ne pourrait que conduire à l’objectivation totale d’une personne reconnue comme telle, en l’occurrence l’enfant, et donc à bafouer ses droits fondamentaux (les Droits de l’Homme, dont font partie les Droits de l’Enfant). Reconnaître un droit à l’enfant serait admettre que des personnes puissent n’exister qu’afin de satisfaire les droits d’autres personnes, ce qui nous semble, à juste titre, une abomination. Il nous faut donc exclure d’emblée de la réflexion tout ce qui pourrait de près ou loin constituer une justification de la PMA sur ce droit inexistant.

D’ores et déjà la revendication de la Procréation Médicalement Assistée pour toutes apparaît bancale, boiteuse. Si l’on refuse le droit à l’enfant, comment justifier une telle demande ? Pour les personnes présentant une impossibilité médicale, les choses sont simples : elles ne réclament pas un droit à l’enfant, mais à la santé. Une femme ayant eu une salpingite (infection des trompes utérines) peut être infertile du fait d’adhérences à l’intérieur des trompes qui rendent impossible la progression de l’ovocyte fécondé ou non vers l’utérus. Ici, la PMA vient corriger cet état pathologique en « contournant le problème ». Rappelons que la PMA regroupe plusieurs pratiques médicales : insémination artificielle, fécondation in vitro avec ou sans injection intra-cytoplasmique du spermatozoïde, avec ou sans donneurs de gamètes… Dans tous les cas, l’ovulation de la femme est obtenue chimiquement, avec les effets indésirables afférant à cette technique, et les spermatozoïdes de l’homme sont sélectionnés et préparés. Il s’agit de court-circuiter des étapes naturelles qu’une pathologie a rendues impossibles ou de se substituer à un défaut de production des gamètes (ovocyte ou spermatozoïde). On se situe clairement dans le champ médical. Le droit à l’enfant n’intervient pas. Cependant, le nœud de l’affaire vient de ce que l’homosexualité, ou le célibat, ne sont pas des situations pathologiques. L’homosexualité n’est plus une maladie depuis 1981 – il faut le répéter sans faillir, surtout en ces temps sombres pour les homosexuels, y compris en France. Dès lors, au nom de quoi enrôler la médecine dans cette aventure ?

Ce n’est pas une affaire de droit à l’enfant, ni de droit à la santé. Très bien. Droit de faire des enfants ? Droit d’être parents ? Peut-être peut-on ainsi déplacer le problème.

Egalité ! Voilà l’étendard brandit par les apologistes de la « PMA pour toutes », et leur principal argument. Mais égalité de quoi, au juste ? Entre ceux qui pourraient faire des enfants et ceux qui ne le pourraient pas ? Mais une personne homosexuelle ne présentant pas d’infertilité médicale dispose de cette possibilité. C’est d’ailleurs une pratique fort répandue, que d’avoir une relation hétérosexuelle pour avoir un enfant, ou d’avoir recours à la « coparentalité » : un couple d’hommes « s’arrange » avec un couple de femmes. Si l’on ne choisit pas d’être homosexuel – cela aussi, il faut le marteler plus que jamais – on peut choisir d’avoir ou non une relation sexuelle – même avec un homme ! Je sais bien que cet argument est difficile à entendre aujourd’hui, et qu’il provoquera immanquablement des cris d’orfraie à vous en faire péter la membrane tympanique. Et pourtant, n’y a-t-il pas un fond de vérité là-dedans ? En réalité, c’est notre rapport au tragique qui est en jeu, c’est-à-dire au fait que vivre implique des sacrifices[3]. Notre monde libéral refuse le sacrifice, il préfère y substituer systématiquement et dès que la science lui en donne les moyens, une nouvelle forme de marché. Le sacrifice n’est pas rentable car il impose d’en rabattre sur son désir, de ne pas satisfaire toutes nos envies. Mais le libéralisme ne rêve au contraire que de libérer tous nos désirs et nous promet de tous les satisfaire… car tout désir est une source de profit potentielle.

Et quand bien même on ne voudrait pas d’une relation hétérosexuelle, l’adoption existe. Un ou une homosexuelle peut avoir des enfants aujourd’hui en France, soit en les faisant, soit en les adoptant. Qu’y a-t-il de plus beau qu’un couple de femmes ou d’hommes qui adopte un enfant pour le couvrir d’affection ? En la matière, le droit a favorablement évolué ces dernières années grâce à l’ouverture du mariage homosexuel. Il est désormais possible pour un couple de personnes du même sexe de recourir à une adoption plénière ; de même, plus récemment, la cours de Cassation a reconnu possible le partage de l’autorité parentale. On peut adopter un enfant né en France, l’enfant de son conjoint, l’enfant né de « coparentalité », voire un enfant venu d’un pays étranger – bien que beaucoup de pays soient très restrictifs sur cette question. Tout n’est pas gagné, c’est sûr, mais les progrès sont réels. Ainsi, derrière la revendication de la PMA, il n’y a pas que la volonté d’être père ou mère, ce qui est d’ores et déjà possible, mais d’être géniteur ou génitrice – ce qui n’est pas du tout la même chose.

En situant l’inégalité sur le terrain de la génération n’est-on pas en train de promouvoir une conception monstrueuse de l’égalité ? Une égalité qui ne touche plus seulement aux droits des individus, mais aussi à leurs préférences ? « Je préfère ne pas adopter, ne pas avoir de relation sexuelle avec un homme… »

Nous avons avancé : la demande de PMA repose sur une demande d’égalité non face au droit à l’enfant qui n’existe pas, ni face à la santé, ni face à la parentalité, car elle est aujourd’hui possible ; on revendique le droit à la génération selon ses propres préférences – droit lui-même problématique.

La famille n’existe pas

Les critiques de la PMA pour toutes les plus médiatisées émanent presque systématiquement de la « Manif’ pour tous » ou de ses divers ersatz. Il est nécessaire, pour avancer sereinement, de déconstruire les absurdités qu’ils propagent, avec l’appui sans doute complaisant des médias. La filiation humaine n’est pas essentiellement un fait de nature, la biologie y joue un rôle minime. Toute filiation, c’est là l’enseignement de l’anthropologie mais aussi de la psychologie, est avant tout un fait de culture. Maurice Godelier, grand anthropologue, y a consacré ses Métamorphoses de la parenté. Il y développe l’idée que la famille n’a rien d’universel, que les règles de parenté sont infiniment variées, et, peut-être le plus choquant pour nous, que « nulle part au monde les rapports de parenté ne constituent le fondement de la société »[4]. A mille lieux des poncifs sur la famille comme « cellule de base » de la société, donc. De même, les sciences de l’Homme nous ont appris depuis longtemps que « père » et « mère » ne désignent pas des individus masculins et féminins, encore moins le géniteur et la génitrice, mais des « fonctions », qui peuvent être tenues par un homme, une femme, voire plusieurs. Autrement dit, il n’y a aucun passage obligé entre la génération et la parentalité et réciproquement, les deux ont toujours et partout été dissociés. Quant à la famille, l’Homme s’est fait une spécialité de la construire en opposition aux nécessités biologiques (un géniteur + une génitrice).

De fait, tout enfant est adopté. Mais c’est un double processus. Une famille, c’est toujours des parents qui adoptent un enfant, y compris biologique, et un enfant qui adopte des parents, y compris biologiques. On ne sait que trop bien à quoi conduisent les familles dans lesquelles l’adoption ne se fait pas. Notre mythologie moderne postule une famille nucléaire naturelle et intangible. Quelles insanités ! Tous les adeptes de la «manif’ pour tous », catholiques radicaux, croyants fanatisés de toute religion ou conservateurs aigris de tout poil prouvent à longueur de banderoles et de slogans leur infinie bêtise et leur inculture crasse – de même, sans nul doute, que leur rejet informulé de l’homosexualité en tant que telle.

Adopter un enfant, quand on est homosexuel, c’est, passez-moi l’expression, faire la nique à Mère Nature. C’est assumer à plein la part culturelle qui constitue toujours une famille. Or, comme je l’ai dit, nous avons glissé du désir d’être parent à celui d’être géniteur. Les tenants de la « PMA pour toutes » ne revendiquent pas une égalité du droit à être parents, mais à être géniteurs. Ce qui en soi renseigne assez sur le narcissisme qui anime notre époque. Il semble que l’anthropologie nous montre – et Godelier en parle lui-même – que nulle part « l’homoparentalité » n’ait jamais été instituée. Même les sociétés dans lesquelles l’homosexualité a une place institutionnalisée, ritualisée et acceptée ne franchissent pas ce qui semble être une limite : reconnaître qu’un couple d’individus de même sexe puisse être les parents d’un enfant. Le but est sans doute de maintenir la dichotomie de l’humanité[5] et de perpétuer la mixité homme/femme, sans quoi c’est la génération elle-même qui s’en trouverait compromise. Autrement dit, l’homoparentalité reconnue comme telle serait une forme de déni de l’autre sexe, un refus de la différence sexuelle, etc. Pourtant, on l’a dit, la génération n’est pas la parenté. Ainsi, on peut, et c’est ma position, très bien admettre que la génération soit toujours l’affaire d’un homme et d’une femme, tandis qu’un enfant peut avoir plusieurs pères ou plusieurs mères – d’autant que les fonctions « père » et « mère », on l’a dit aussi, peuvent être assurée indépendamment du sexe. Auquel cas, la limite ne serait pas celle de l’homoparentalité – toute parentalité est toujours une fiction – mais celle de « l’homogénération ».

Pour une médecine médicale

« Mais, me répondrez-vous, tout ce que vous dites là n’est en rien incompatible avec la PMA pour toutes ! » Et vous aurez raison ! C’est que pour moi, le problème tient à une seule chose : la place du médecin et de la médecine dans notre société, et la place que l’un et l’autre seront amenés à y occuper demain. Étonnamment, la médecine est la grande absente des débats, on ne l’entend pas ! Alors qu’elle est concernée au premier chef : ce sont les équipes médicales qui pratiquent la PMA. Admettre que l’on puisse mobiliser la médecine à des fins autres que médicales pose un immense problème. Bien sûr, c’est déjà le cas de la chirurgie esthétique. Mais là, nous sommes en passe de franchir un seuil qui ne peut pas ne pas nous interroger au plus haut point. En ce qui me concerne, je crois que la médecine, cet art si particulier qui touche au droit fondamental de l’inviolabilité du corps humain, ne doit s’exercer que dans un cadre strictement médical et pour répondre à des besoins médicaux. L’homosexualité ne relève pas de la médecine. Toute cause organique – voire psychiatrique – d’infertilité, si. La médecine est-elle chargée de répondre à des besoins sociétaux ? Pour ma part, je ne le crois pas. C’est pour cette seule raison, qui ne laisse prise à aucune forme d’homophobie, que la PMA doit être réservée aux personnes (hommes, femmes, hétérosexuels ou homosexuels, voire célibataires) qui ne peuvent pas avoir d’enfant pour des raisons médicales.

Autorisons, au moins en pensée, la PMA pour toutes. Sera-t-elle remboursée par la Sécurité Sociale ? Le gouvernement le préconise. Cela figure explicitement dans le projet de loi de bioéthique qu’il présentera sous peu. A nouveau : au nom de quoi la solidarité collective devrait-elle prendre en charge des actes qui ne répondent pas à un besoin médical ? Sommes-nous en train d’assister à la naissance d’un « service public de la procréation » ? Cela pose une question de fond sur ce qu’est la Sécurité Sociale. Ce changement de paradigme de la “sécu” qui semble s’amorcer devrait à tout le moins être discuté, et approuvé largement, il en va de la solidarité de tous envers chacun. Mais si la PMA pour toutes n’était pas remboursée, c’est tout l’argument de l’égalité qui volerait en éclat ! Il serait impossible de défendre la PMA au nom de l’égalité tout en l’organisant au bénéfice des femmes les plus favorisées socialement et économiquement ! Il faut donc, à moins d’une incohérence majeure, que cela soit remboursé, causant une brèche dans notre système de solidarité nationale.

Pour ces raisons, il me semble préférable de réserver la Procréation Médicalement Assistée aux femmes présentant une pathologie, lesbiennes ou célibataires comprises. Ainsi, on rétablit une sorte d’égalité face à la santé, puisque certaines thérapeutiques étaient uniquement disponibles pour les futures mères hétérosexuelles. Bien sûr, des critères d’éligibilité existaient et doivent continuer d’exister[6], toute pratique médicale doit faire l’objet d’une appréciation individualisée. Toute autre approche me semble conduire à un dévoiement de la médecine et de la sécurité sociale et à une extension de son champ d’application qui ne pourra que créer un précédent dont nous ne mesurons pas les conséquences. Comment par exemple ne pas penser ici aux velléités trans-humanistes de ceux qui considèrent que la biologie est déjà obsolète et que les pratiques et connaissances médicales doivent être mises au service du projet fou d’améliorer l’Homme ? Demain, quelles autres pratiques non médicales prendront la PMA pour toutes comme prétexte pour demander leur remboursement ? Et comment ne pas voir que cette rhétorique boiteuse de l’égalité n’est qu’un préambule à la Gestation Pour Autrui ? Car dès lors que l’on accepte les prémisses d’un tel raisonnement on ne voit pas bien pourquoi les homosexuels hommes ne pourraient pas avoir recours à une telle pratique.

Enfin, je finirai en répétant que la filiation est une affaire essentiellement culturelle et non biologique, et qu’elle est tout-à-fait compatible avec l’homosexualité – par l’adoption ou par des relations sexuelles. La médecine doit s’occuper de médecine, et de rien d’autre. Quant à nous, individus post-modernes, nous avons à retrouver le sens du tragique, à savoir la tension insurmontable que constitue toute existence humaine, et à prendre conscience que Némésis nous guette…

 


[1] La question de la différence entre sexe (biologique) et genre (construction sociale) ne m’intéresse pas ici. En fait, elle ne m’intéresse pas du tout. Que les excités des gender studies passent leur chemin. Je parlerai dans cet article uniquement du sexe des individus, ce qu’il se passe dans leur tête ne regarde qu’eux. Par parenthèse, l’approche désexualisé et uniquement centrée sur le genre de l’homosexualité m’a toujours semblé dangereuse : s’il n’existe plus de sexe, il n’existe plus d’homosexualité, ou alors celle-ci n’est qu’une pure construction sociale elle aussi. Or, les homosexuels ne se font pas tabasser, humilier, insulter, rejeter voire tuer parce qu’une construction sociale a donné dans la rue la main à une autre construction sociale, mais bel et bien parce qu’un homme a embrassé un autre homme. Cela marche bien sûr avec les femmes. Nier ce simple fait rend impossible la lutte pour le droit voire la simple survie des homosexuels.
[2] Voir cet article de Libération pour un aperçu du contenu de la nouvelle loi de bioéthique.
[3] Je ne suis pas là pour promouvoir une vision sacrificielle de l’existence, encore moins une sorte d’ascétisme ou de dolorisme postchrétien. Simplement, la vie, car elle est limitée temporellement, spatialement et biologiquement, est faite de sacrifices : faire ceci c’est ne pas faire cela, aller ici c’est ne pas aller là, satisfaire tel désir c’est ne pas satisfaire tel autre et prendre le risque de tel déplaisir. Le tragique est l’autre nom du sens des limites. Il ne s’agit pas de poser des limites pour jouir de s’humilier soi-même ou de se contraindre, une version masochiste – donc religieuse – de l’existence, non. Mais parce que des limites existent et que vouloir les transgresser est la garantie de la chute dans l’abîme – pour des raisons, je dirai, purement physiques. Le mythe d’Icare ne parle que de cela.
[4] Maurice Godelier, Métamorphoses de la parenté », Fayard, 2004.
[5] L’humanité n’est pas une mais deux : la différence homme/femme est irréductible et empêche de subsumer tous les êtres humains sous une représentation unique. Toute la question est de savoir si cette dichotomie doit avoir ou non une valeur normative. Autrement dit, si l’on doit, et dans quelle mesure, calquer les normes instituées sur la « Nature ».
[6] Par exemple une limite d’âge : 43 ans.

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